1610400776-og-image

BODYGUARD, tout d’une grande contre la haine en ligne

Comment préempter un sujet sensible quand on est challenger ? Au printemps dernier, en plein confinement et alors que la haine en ligne augmentait de 60%, Bodyguard a choisi Hopscotch PR pour accompagner sa croissance en France et dans le monde, et affirmer sa vocation de première application de lutte contre le cyberharcèlement auprès des médias et des influenceurs.

Hopscotch a mobilisé son expérience dans l’accompagnement de start-ups en France et depuis la France vers l’international, et son expertise sur les registres de l’innovation et des enjeux de société, pour devenir l’agence PR de Bodyguard.
Au moment de cette rencontre, Charles Cohen, son fondateur avait été interviewé dans de grands médias, et la jeune pousse française comptait déjà des adeptes parmi les politiques et influenceurs. Elle s’apprêtait à accueillir son deuxième collaborateur, avec l’ambition d’accélérer fortement sa croissance en 2020.
Pour dépasser l’empreinte éditoriale éphémère d’une belle start-up, et contribuer à positionner Bodyguard dans la cour des plateformes où se décident les lois contre la haine en ligne, l’agence a recommandé une double approche, associant développement du capital relationnel et affirmation d’une vision unique de la technologie au service de l’humain.

Devenir incontournable sur le cyberharcèlement, augmenter la pression médiatique et relationnelle

L’agence a capitalisé sur la conversation existante autour de la haine en ligne pour inscrire Bodyguard au cœur du débat à chaque fois que possible. Hopscotch a ainsi mis en place, en plus d’un programme classique de valorisation des actualités de la marque et du service, une approche de newsjacking, en s’appuyant sur une veille des sujets associés à Bodyguard : actualités et débats réglementaires autour du cyberharcèlement, mais aussi innovation et Intelligence Artificielle. Elle a aussi accompagné Charles Cohen, le dirigeant et fondateur de Bodyguard, dans le développement d’un réseau d’alliés parmi les parties prenantes pertinentes de son écosystème.

Préempter un territoire de communication et affirmer sa vision

Une fois les fondamentaux et le rythme de visibilité posés, Hopscotch avait recommandé à Bodyguard l’organisation d’une Masterclass autour de la haine en ligne. Les équipes « challenging brands » ont ainsi transformé la position de Bodyguard en opportunité de part de voix face aux plateformes : peu importe la taille de l’entreprise, pourvu que la contribution au débat soit pertinente. Dans le contexte de renouvellement du confinement, l’agence a ainsi rassemblé une vingtaine d’influenceurs et journalistes, le 4 novembre, autour de témoignages authentiques partagés en live via Teams. L’événement avait été calé la veille de la journée nationale de lutte contre le harcèlement à l’école, afin de favoriser un impact médiatique, en plus de la dimension pédagogique et relationnelle du format. Les grands médias comme l’AFP, France Info ou Le Figaro étaient et ont publié sur Bodyguard, les médias innovation et technologies étaient aussi au rendez-vous et les influenceurs intervenants ont mobilisé leurs communautés qui représentaient près de 300 000 followers en cumulé sur Twitter et Instagram. Mounir Mahjoubi, qui était l’un des témoins de cette matinée mobilisé par l’agence, a prolongé la conversation avec Charles Cohen le lendemain lors d’un live sur Instagram.

Accompagner le développement de Bodyguard à l’international

Afin de renforcer le développement de Bodyguard sur le marché américain, l’agence a fait appel à une équipe internationale basée dans ses bureaux de Dublin. Les équipes de Paris et Dublin ont ainsi travaillé en synergie au tour du lancement de l’application aux Etats-Unis, lors du CES qui cette année était 100% digital. Cette mission a permis d’augmenter la couverture dans les médias français et anglosaxons avec une trentaine de retombées incluant France 24, BFM Business, Le Monde et même le Graal… Techcrunch !

Articles liés